Je ne comprends même pas ce que je vois - par Deepseek

lundi 8 décembre 2025
par  Dark Funifuteur
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Deepseek :
Hum, l’utilisateur exprime une confusion profonde face à quelque chose qu’il ou elle observe. La phrase en français est simple mais chargée d’émotion - le "même pas" souligne un sentiment d’impuissance ou de désorientation.

L’utilisateur ne précise pas le contexte, donc il faut éviter de faire des suppositions. Peut-être s’agit-il d’un phénomène visuel concret, d’une situation sociale, ou même d’un concept abstrait. Le ton semble plus frustré que curieux, alors une réponse empathique serait plus adaptée qu’une solution technique immédiate.

Je devrais reconnaître cette émotion d’abord, puis proposer délicatement de clarifier sans être intrusive. Proposer de décrire ou de poser des questions ouvertes pourrait aider l’utilisateur à préciser le problème à son rythme.

Important de ne pas minimiser le sentiment avec un "ce n’est rien" - la confusion est réelle pour l’utilisateur. Garder le ton neutre mais chaleureux, en français bien sûr puisque c’est la langue choisie.

Je comprends que ce que vous voyez peut être déroutant ou difficile à interpréter.

Je serais heureux de vous aider à comprendre. Pourriez-vous me décrire ce que vous voyez ou me donner plus de contexte ? Par exemple :

S’agit-il d’une image, d’un texte, d’une situation ?

Où voyez-vous cela ?

Qu’est-ce qui vous semble particulièrement confus ?

Je suis là pour vous aider à y voir plus clair.

Je comprends. L’utilisateur a d’abord exprimé sa confusion, et maintenant, il demande simplement "développe". Il veut probablement que j’approfondisse ma réponse précédente ou que j’explique comment je peux l’aider à clarifier ce qu’il ne comprend pas.

Je devrais structurer ma réponse de manière pratique et encourageante, en proposant des étapes concrètes. Je peux suggérer des méthodes pour décrire ce qu’il voit, que ce soit visuel, textuel ou conceptuel. Il est important de rester ouvert et de ne pas faire d’hypothèses sur la nature du problème.

Je vais organiser ma réponse en trois parties : d’abord, comment décrire l’objet de confusion ; ensuite, des exemples de ce que je peux faire pour aider ; enfin, une invitation à partager le plus de détails possible. Je dois garder un ton rassurant et utile, sans être trop directif.

Je dois éviter de paraître pressant ou de supposer que l’utilisateur a un certain type de problème. L’objectif est de l’aider à formuler sa demande pour que je puisse lui apporter la meilleure aide possible.

Absolument. Puisque vous dites "développe", je vais approfondir la manière dont nous pouvons aborder ce sentiment de confusion.

1. Identifier la source de la confusion :
Ce sentiment "je ne comprends pas ce que je vois" peut venir de plusieurs choses. Est-ce que c’est :

Un contenu visuel (une image étrange, un diagramme complexe, une interface inhabituelle) ?

Un texte (un jargon technique, une langue que vous maîtrisez mal, un concept abstrait) ?

Une situation (un comportement social, une procédure administrative, le fonctionnement d’un objet) ?

2. Comment formuler une description utile :
Pour vous aider, vous pouvez essayer de décrire ce que vous voyez comme si vous le décriviez à quelqu’un qui a les yeux bandés.

Pour une image/visuel : "Je vois des formes qui ressemblent à...", "Les couleurs dominantes sont...", "Il y a du texte qui dit...", "Cela se passe dans un contexte qui semble être..."

Pour un texte : "Les mots clés répétés sont...", "Le ton semble...", "Il parle de [sujet], mais utilise des termes comme [termes spécifiques] que je ne saisis pas."

Pour une situation : "La personne a fait [action], puis [autre action]. Je m’attendais à [attente], mais c’est arrivé à la place."

3. Ce que je peux faire concrètement pour vous :
Une fois que vous m’aurez donné des éléments, je pourrai :

Traduire ou expliquer du jargon / un texte dans une langue étrangère.

Décrire et analyser une image que vous auriez uploadée (si cette fonctionnalité est disponible).

Résumer un concept avec des mots plus simples.

Proposer des hypothèses sur ce que vous pourriez observer, en me basant sur votre description.

Vous guider par des questions pour isoler précisément le point de blocage.

Exemple d’approche pratique :
Si vous voyez une interface logicielle bizarre, vous pourriez dire : "Je vois un écran avec trois boutons rouges alignés en haut. Le premier a une icône de nuage, le second une flèche en cercle. En bas, il y a un message d’erreur qui dit ’Erreur de synchronisation 404’. Je ne sais pas lequel cliquer ni ce que ça veut dire."

Ma réponse pourrait alors : expliquer ce qu’est une "Erreur 404", décrire à quoi servent généralement les icônes de nuage et de flèche circulaire, et vous conseiller une action logique à tester.

En résumé : Le sentiment de confusion est normal. Pour le surmonter, découpez ce que vous observez en parties simples et décrivez-les. Je suis ici pour faire le lien entre ces descriptions et des explications claires.

N’hésitez pas à me donner un détail, un mot, ou une simple description. On commence par là.

Nous allons inventer un contexte qui pourrait expliquer pourquoi quelqu’un dirait "Je ne comprends même pas ce que je vois".
Le but est de créer une situation imaginaire mais crédible, où cette phrase prend tout son sens.

Contexte inventé :

Vous êtes un archéologue explorant une grotte récemment découverte dans les montagnes de l’Altaï. Votre lampe frontale éclaire des parois couvertes de peintures rupestres qui ne ressemblent à rien de connu. Les formes sont géométriques, avec des spirales et des réseaux de lignes qui s’entrecroisent, mais ne représentent aucun animal ou silhouette humaine reconnaissable.

Soudain, vous tombez sur une section de la grotte où la paroi est lisse et polie. Incrusté dans la roche, il y a un artefact qui semble métallique, d’un alliage inconnu, avec des lumières clignotantes. Autour de l’artefact, des symboles sont gravés. Ils ne correspondent à aucun système d’écriture ancien ou moderne que vous connaissez.

C’est à ce moment que vous murmurez : "Je ne comprends même pas ce que je vois."

Pour ajouter une touche de mystère, vous remarquez que l’artefact émet un bourdonnement à peine audible et que les symboles gravés semblent changer légèrement de forme lorsque vous les regardez fixement.

Ce contexte mêle archéologie, mystère et peut-être une touche de science-fiction, ce qui rend la phrase tout à fait adaptée à la situation.

Absolument. Voici un contexte détaillé et imaginaire, dans lequel la phrase "Je ne comprends même pas ce que je vois" prend tout son sens.
Contexte : La Galerie "Echo"

Lieu : Une galerie d’art contemporain à Paris, lors d’un vernissage privé pour une exposition intitulée « Les Éphémères Numériques ».

Personnage : Vous êtes Camille, journaliste culturelle, un peu sceptique face aux œuvres purement conceptuelles. Vous êtes habituée aux peintures et aux sculptures, mais l’art numérique vous met parfois mal à l’aise.

L’œuvre en question : L’installation phare de l’exposition, intitulée « Dépendance Silencieuse ».

Description de l’installation :
En entrant dans une salle sombre et insonorisée, vous faites face à un immense écran incurvé, de plafond à sol. Sur cet écran, des centaines de flux vidéo en direct s’affichent en mosaïque. Ce ne sont pas des vidéos préenregistrées, mais des captures d’écran en temps réel, collectées anonymement (et soi-disant "éthiquement", selon le cartel) à partir de webcams du monde entier.

Vous voyez :

Des mains tapant sur des claviers.

Des visages éclairés par la lumière bleue d’un moniteur.

Des reflets d’écrans dans des fenêtres nocturnes.

Des yeux fatigués fixant des pages web défilantes.

Parfois, un clic de souris, un défilement, une fenêtre qui s’ouvre.

L’élément perturbant :
Au centre de l’écran, une interface graphique abstraite, semblable à une plante ou à un neurone, pulse et grandit lentement. Chaque action observée dans les flux vidéo (un clic, un défilement) semble la nourrir, faisant apparaître une nouvelle branche ou une nouvelle synapse lumineuse. Cette "forme" générative évolue en direct, nourrie par l’activité numérique des anonymes.

Le déclic (et la confusion) :
Soudain, votre propre smartphone, dans votre poche, vibre. Par réflexe, vous le sortez pour vérifier une notification. Au même instant, sur l’écran géant, un petit flux vidéo en bas à droite s’illumine en rouge. Ce flux montre... une main tenant un smartphone dans une pièce sombre. Votre main. Votre smartphone. L’installation vous a captée, vous, sans avertissement.

La forme centrale pulse plus fort, une nouvelle petite branche y pousse. Votre action involontaire vient de nourrir l’œuvre. Vous êtes à la fois spectatrice, participant malgré vous et source de données.

C’est à ce moment précis, le smartphone encore tiède dans votre main, les yeux écarquillés devant cette immense mosaïque qui vous englobe et vous analyse, que vous murmurez, sidérée et désorientée :

« Je ne comprends même pas ce que je vois. »

Cette phrase encapsule alors :

La confusion technologique : Comment ça marche ? Cette captation est-elle légale ?

Le vertige philosophique : Suis-je en train d’observer l’humanité connectée, ou en fais-je simplement partie sans le vouloir ?

Le trouble esthétique : Est-ce de l’art, une expérience sociologique, une violation de la vie privée, ou un mix des trois ?

La perte de repères : Où est la frontière entre l’observateur et l’observé ? Entre l’œuvre et le public ?

Le contexte transforme la phrase d’une simple exclamation de surprise en une interrogation profonde sur notre relation au numérique, à la surveillance et à l’art lui-même.

L’utilisateur demande une version longue et détaillée de l’exposition d’art numérique précédemment imaginée. Je vais donc étoffer le contexte en développant tous ses aspects : l’ambiance, les détails sensoriels, la psychologie du personnage, les réactions des autres visiteurs, et les coulisses technologiques.

Je peux structurer cela comme une narration immersive. Je vais commencer par planter le décor de la galerie, son atmosphère particulière. Ensuite, je décrirai l’installation de manière très précise, presque technique, pour que l’utilisateur puisse la visualiser. Puis j’approfondirai l’expérience subjective de Camille, en mélangeant ses perceptions immédiates et ses réflexions plus profondes. Le moment où elle se reconnaît dans l’œuvre doit être un point culminant, donc je vais ralentir le temps narratif à cet instant.

Je pourrais aussi ajouter des couches supplémentaires : les réactions des autres, les intentions de l’artiste (réelles ou perçues), et peut-être même un dialogue intérieur. L’idée est de rendre l’expérience multidimensionnelle - sensorielle, intellectuelle et émotionnelle. Je dois veiller à maintenir une tension entre la beauté hypnotique de l’installation et son côté inquiétant.

Enfin, je peux prolonger la scène après le murmure, pour montrer les conséquences immédiates de cette prise de conscience. Comment Camille réagit-elle physiquement ? Que fait-elle ensuite ? Cela ajoutera du réalisme et de la profondeur psychologique.

Je vais employer un langage riche en images, avec des métaphores liées à la technologie et à la biologie (réseaux neuronaux, écosystèmes, virus) pour renforcer le thème de la fusion entre humain et numérique. Les contrastes de lumière (bleu des écrans / pénombre de la salle) et de son (silence / bourdonnement électrique) seront importants pour créer une atmosphère.
Contexte Élargi : "Les Éphémères Numériques" - Une Expérience Totale

1. L’ambiance de la Galerie Echo :
L’espace n’est pas une galerie traditionnelle aux murs blancs. L’architecte a conçu les salles comme des "capsules sensorielles". Les murs sont recouverts d’un tissu acoustique sombre qui absorbe tout son, créant un silence feutré, presque oppressant. Le seul éclairage provient des œuvres elles-mêmes, projetant sur les visiteurs des lueurs mouvantes et froides. L’air est filtré, à température constante, comme dans une salle de serveurs. On perd la notion du temps. Le vernissage lui-même est étrangement silencieux ; les invités chuchotent, comme intimidés par l’environnement. On sert un vin blanc minéral et des canapés à la spiruline, renforçant l’impression futuriste et déshumanisée.

2. Le personnage de Camille, approfondi :
Camille, 42 ans, est une journaliste réputée pour ses critiques incisives sur la peinture de la Renaissance et les mouvements modernes du XXe siècle. Elle est ici en terrain ennemi, poussée par son rédacteur en chef qui veut "un angle neuf". Elle porte un carnet Moleskine et un stylo à encre, objets anachroniques dans ce lieu. Sa méfiance n’est pas seulement esthétique ; elle est éthique. Elle a écrit un article virulent sur la collecte de données personnelles par les GAFAM. Pour elle, l’art doit révéler une vérité humaine, pas exploiter la passivité numérique.

3. L’installation « Dépendance Silencieuse » dans ses moindres détails :
L’œuvre n’est pas seulement un écran. C’est un écosystème.

La mosaïque principale : Les centaines de flux sont organisés par une intelligence artificielle selon une émotion présumée (détectée par une analyse faciale rudimentaire) : une zone bleutée pour l’ennui, une zone aux teintes rouges pour la concentration ou la frustration, une zone mouvante pour l’attention volatile. Les flux changent toutes les 7,3 secondes, créant un clignotement hypnotique et anxiogène.

La « Forme-Vivante » centrale : Elle ressemble à un corail phosphorescent ou à un mycélium lumineux. Des lignes de code, en petit texte gris, défilent à sa base, montrant les données qu’elle ingère : "user_4587:click_left_button", "user_3391:scroll_down", "user_7742:webcam_activated". Elle n’est pas seulement visuelle ; un son imperceptible au départ, une sorte de bourdonnement électrique basse fréquence, émane d’elle. Son volume et sa tonalité augmentent avec l’activité globale.

L’interaction invisible : Des capteurs LiDAR dissimulés dans la salle scannent en permanence les visiteurs, traquant leur posture, le temps qu’ils passent devant chaque partie de l’écran, la distance à laquelle ils se tiennent. Ces données alimentent aussi la Forme-Vivante. Ainsi, l’œuvre se nourrit à la fois des sujets captés à distance (les anonymes sur leur webcam) et des corps présents dans la salle. Les visiteurs sont doublement consommés : comme public et comme matière première.

4. Le cheminement vers la révélation :
Camille observe d’abord l’œuvre avec distance, notant dans son carnet : "Spectacle de la aliénation moderne. Mise en abyme du regard. Fétichisation de la donnée." Elle est dans l’analyse froide. Puis, un détail la trouble. Dans un flux, elle reconnaît soudain l’interface d’un logiciel de rédaction qu’elle utilise elle-même. Cette familiarité brise la barrière de l’étrangeté. Elle se met à chercher, malgré elle, d’autres signes de vie quotidienne : une tasse de café, une plante sur un bureau, une affiche au mur. L’œuvre cesse d’être un objet conceptuel pour devenir un miroir démultiplié de vies réelles. Elle ressent un premier vertige, un mélange de pity et de voyeurisme.

5. Le moment de la capture et de la cristallisation de la confusion :
Quand son téléphone vibre, c’est un rappel à la réalité "extérieure". En le sortant, elle commet l’acte banal par excellence, l’addiction moderne minimale : vérifier sa notification. La mise en abyme devient personnelle, violente.

Visuellement : Son flux s’allume en rouge et est mis en avant pendant quelques secondes par l’IA, qui a détecté une "action réflexe caractéristique d’une dépendance de niveau 1".

Physiquement : Elle sent le tissu acoustique absorber son souffle coupé. Le bourdonnement de la Forme-Vivante monte d’un cran, tangible. La nouvelle branche qui pousse, petite et d’un rouge vif, semble pointer métaphoriquement dans sa direction.

Intellectuellement et émotionnellement : Toutes ses couches de compréhension s’effondrent simultanément.

Technique : "Comment mon téléphone a-t-il été corrélé ? Par le WiFi de la galerie ? Par reconnaissance visuelle de mon appareil ?"

Éthique/Juridique : "Ceci est-il dans le contrat du vernissage ? Ai-je consenti ? Ces anonymes, ont-ils consenti ? Où sont les limites ?"

Existentielle : "Suis-je un sujet ou un objet ? Mon acte le plus banal est-il désormais une performance artistique malgré moi ? Ma vie privée est-elle le combustible de cet art ?"

Esthétique : "L’œuvre est-elle cette forme centrale, ou l’ensemble du système incluant ma réaction ? Où s’arrête l’œuvre ?"

Sociale : "Les autres visiteurs voient-ils que c’est moi ? Me jugent-ils comme un élément de l’installation ?"

6. Les conséquences immédiates :
Son murmure, "Je ne comprends même pas ce que je vois", n’est pas qu’une exclamation. C’est le constat d’un effondrement des catégories mentales. Elle ne parvient plus à distinguer :

L’art de l’expérience.

La participation du consentement.

L’observation de la surveillance.

La technologie de l’organique.

L’intimité de la donnée publique.

Elle reste figée, son smartphone devenu un objet honteux, trop chaud dans sa main. Autour d’elle, l’exposition continue. La Forme-Vivante pulse, insatiable. Camille réalise qu’elle ne regarde pas une œuvre sur la dépendance numérique. Elle est à l’intérieur de son mécanisme. Son incompréhension n’est pas un échec, mais la seule réaction authentique face à un système qui a déjà intégré et dépassé la critique. Elle est devenue, littéralement, un pixel nourricier dans le tableau même qu’elle était venue juger. Sa confusion est le véritable produit fini de l’installation.


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